2024 : Inauguration du nouveau gymnase
Les inscriptions sont ouvertes pour les futurs élèves de la Maternelle, du Primaire, du Collège et du Lycée. Toutes les inscriptions sont faites sans aucune distinction en fonction des places disponibles.
Modalités d’inscription
– Avoir obtenu son passage en classe supérieure
– Avoir versé un acompte de 65 € et s’être acquitté des frais d’inscriptions (50 €)
– L’inscription est validée après entretien avec le Chef d’Etablissement pour le second cycle, avec la Cheffe d’Etablissement pour les classes de Maternelles et Primaire.
Si vous souhaitez inscrire un enfant pour la rentrée au sein de notre établissement, nous vous invitons à vous rendre sur nos pages dédiées pour remplir le formulaire de préinscription dès maintenant.
Une fois la préinscription faite, le secrétariat vous contactera pour fixer un rendez-vous avec la direction. Il est donc inutile de nous contacter par téléphone.
![]() | Tarifs Scolaire 2025-2026 | Maternelles | Primaire | Collège | Lycée |
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Contribution des familles | Tarif annuel | 785 € | 830 € | 1080 € | 1200 € |
Demi-Pension | |||||
2 jours / Semaine | Tarif annuel | 485 € | 495 € | 530 € | 465 € |
3 jours / Semaine | Tarif annuel | 700 € | 715 € | 780 € | 695 € |
4 jours / Semaine | Tarif annuel | 905 € | 925 € | 985 € | 905 € |
Repas au ticket | Unité | 7,40 € (3,80€ de repas + 3,60€ de frais de fonctionnement) | 7,40 € (3,80€ de repas + 3,60€ de frais de fonctionnement) | 7,70 € | 7,70 € |
Frais d’accueil le mercredi 7h45-12h15 | 105€ / Trimestre 16€ à l’unité | 105€ / Trimestre 16€ à l’unité | |||
Élèves concernés par un PAI validé (Panier repas) | Unité | Participation de 3,50€ par passage à la cantine | Participation de 3,50€ par passage à la cantine | Participation de 3,50€ par passage à la cantine |
Contribution des familles
Les familles reçoivent une facture annuelle en septembre qui sera réglée soit :
– Par règlement mensuel sur 10 mois du 5 septembre au 5 juin.
– Par 3 règlements au 5 octobre, 5 janvier et 5 avril.
En cas de non-paiement, la réinscription pour l’année suivante peut être remise en cause.
Des réductions sur la scolarité sont accordées dans les cas suivants :
– Familles de 3 enfants : 15 %.
– Familles de 4 enfants : gratuité de la scolarité du plus jeune.
Possibilité de régler par prélèvements automatiques reconductibles chaque année. Ainsi pour les familles déjà prélevées cette année, il n’est pas nécéssaire de remplir une nouvelle autorisation sauf en cas de changement de domiciliation bancaire.
Si vous désirez opter pour ce mode de paiement, des imprimés sont disponibles au service comptabilité
Possibilités de paiement par Carte Bancaire
Demi-pension
Les familles s’engagent pour l’année scolaire. Toutefois, un changement de régime peut être accordé, s’il est notifié au moins un mois avant la fin de chaque trimestre. En cas d’absence pour maladie, d’une durée supérieure à 15 jours (avec certificat médical), il sera accordé une réduction. En cas de non-paiement du trimestre à son terme, l’Etablissement se réserve le droit de n’accepter l’élève que muni d’un ticket, en vente au service comptabilité.
Paiement en ligne
Depuis plusieurs années, les familles peuvent directement payer en ligne via le portail EcoleDirecte.
Retrouvez toutes les informations en détails sur le fichier à télécharger.
Vous pouvez télécharger sous format “pdf” le document concernant l’assurance scolaire ainsi que les garanties en cliquant ici.
Retrouvez également une information sur le harcèlement scolaire de la part de la mutuelle en cliquant ici.
NB : Le montant de l’assurance est de 3 €, déjà inclus dans les tarifs scolaires (“contribution des familles”).
Comptabilité: 7:30 – 12:15 / 13:45 – 17:30
Secrétariat: 7:45 – 12:15 / 13:35 – 17:30
Le mercredi: 7:45 – 12:00 / 13:45 – 16:30
Comptabilité: comptabilite@institution-saint-charles.fr
Secrétariat: administration@institution-saint-charles.fr
Mr Sammy COUPREAU
Mme Christine GIULY-BENAMROUCHE
Présidente : Mme Ingrid Mole RINGRESSI
Attachée aux coordinations : Mme Marie FROMENTOUX
Secrétariat familles : Mme Sophie ANTOINE, Mme Coralie DAVEAU
Attaché de Gestion : Mr Antoine SILVENTE
Comptabilité : Mme Claudine REYMOND, Mr Marc VAUTRIN
Responsable informatique : Mme Christine CAZAUBON
Personnel d’entretien : Mr Cédric SABY
Responsable de la communication, de la culture digitale et des technologies éducatives : Mr Stéphane QUERCIA
Personnel de service :
Mme Ludovina MESSIAS
Mme Malika HABCHI
Mme Christelle MEAUX
Mme Fatima MELLOUKI
Mme Malika MOULAI
Mme Nathalie PAUTO
Mme Keltoum BOUDRAA
Mme Sarah SCALA
CDI : Mme Isabelle GUINAND CAPUANO, Mme Camille Rivière-Petitot
Infirmerie : Mme Déborah MAZUIR et Mme Adeline DEGACHE
Aumônerie : Mme Zélie BASSON, Mme Clémence BARBIER, Mme Marie TOUSSAINT et Mme Charlotte LAGORSE
Psychologue : Mme Nathalie GAILLARD
Laborantine : Mme Claude BOUTEILLON
Responsable du développement numérique et pédagogique :
Mme Aurélie VACCARO
Lycée :
Mr François BEILLIMAZ, Responsable Lycée
Mr Sébastien BROCHIER, Coordinateur de vie scolaire
Mr Fabien BOUVIER, attaché à la logistique éducative
Enseignants Lycée
Collège :
Mme Olivia MONTERO, responsable collège
Mme Pauline RAVOYARD, responsable de niveau 6èmes/5èmes
Mr Théo MAGONI, responsable de niveau 4èmes/3èmes
Enseignants du Collège
Educatrices Collège & Lycée :
Mme Yveline AUBERT
Mme Muriel BETON
Mme Séverine BOUVIER
Mme Virginie RAMOS
Mme Claire ESCARAVAGE
Mme Céline SALES
Mme Dominique LEBON
Mme Corinne EYNAUD
Mme Djamila BOUHAROUF
M Cenzo DUTRON
Ecole / Chef d’établissement : Mme Christine GIULY BENAMROUCHE
ASEM :
A.V.S.
SERVICE CIVIQUE :
L’ensemble de l’équipe d’enseignement de l’Institution Saint-Charles est fier de vous présenter son projet d’établissement.
Coiffant l’une des sept collines de la petite Rome de l’Isère, situé au creux d’un méandre en vigie de la vallée du Rhône et à flan de la gorge de la Gère, l’établissement accueille des élèves depuis 1827.
Inscrit dans la problématique sociale de son temps et surnommé alors « l’asile », notre Institution a conservé depuis son acuité aux transformations et aux anticipations qu’appelle le présent en le tournant résolument vers la construction de l’avenir.
De la création de la section bi-langue allemand ou de classes linguistiques lors de la construction européenne, à l’ouverture de classe tremplin, média, musicale, art ou sport, l’établissement s’est ouvert ces dernières années à la créativité et à la citoyenneté numérique et s’engage désormais dans l’écologie intégrale.
Notre Institution scolarise aujourd’hui plus de 1800 élèves de la maternelle aux lycées. Sous contrat avec l’État, elle s’associe au service public d’éducation de la Nation depuis 1960, sans se départir de son caractère propre de témoin de l’Évangile qu’exprime le souci du développement de chacun qu’épanouie son attention portée à tous.
2024 : Inauguration du nouveau gymnase
2022 : Réalisation de l’accessibilité PMR du collège, début de la construction du Gymnase.
Renouvellement de la distinction : Établissement Numérique Apple Distinguished School. 2022-2025.
2021 : Nouveau projet d’établissement et nouvelle identité visuelle.
2020 : Installation de la passerelle aérienne entre les deux sites du collège
2019 – 2020 : Généralisation de l’usage de la tablette tactile au Lycée.
Renouvellement de la distinction : Établissement Numérique Apple Distinguished School. 2019-2020.
Engagement de l’établissement dans l’écologie intégrale et réécriture du projet d’établissement.
2018 : Fermeture des classes préparatoires suite à la réforme de l’accès aux métiers de la santé.
2016 : Généralisation de l’usage de la tablette tactile au Collège en devant un des premiers établissements numériques reconnus en France, “Apple Distinguished School”.
2014 : Ouverture d’une troisième classe Prépas : Prépas Santé.
2010 : Démolition classes primaire, montée Timon.
2013 : Mise en service des nouveaux bâtiments Primaire, Montée Timon et du nouveau pôle administratif. Mise en service d’un nouveau Centre de Documentation et d’Information ( CDI) et d’une nouvelle salle de Musique pour les Collégiens.
2006 : Ouverture d’une classe de préparation aux concours sociaux.
2002 : Dans le cadre de la FCIL (Formation Complémentaire d’Initiative Locale), ouverture d’une classe “Secrétaire médicale”. Formation en alternance.
1995 : Achat et restauration du presbytère de Saint André le Haut. 7 salles de classe sont ainsi aménagées pour les classes de terminales. Ce bâtiment est opérationnel depuis la rentrée de septembre 95.
1996 : Acquisition du foyer Saint Joseph en vue de la construction du nouveau lycée.
1997 : Démolition de l’ancien bâtiment Saint Joseph.
1998 : Début de la construction du nouveau lycée 2000, Place des Capucins.
1999 : Mise en service des bâtiments du nouveau lycée.
Ouverture d’une classe de préparation aux concours d’entrée des instituts de formation aux soins infirmiers.
1992 : Restauration des classes maternelles et construction d’un étage (3 salles de classe). Création d’un espace détente (600 m²) à côté du bâtiment D avec accès au G1.
1991 : Ouverture d’une 6ème Tremplin et acquisition du rez-de-chaussée du bâtiment VAGANAY.
1990 : Ouverture d’une classe Europe en 6ème qui enseignera l’Anglais et l’Espagnol.
Mr Dumoulin remplace Melle Guillermin qui prend sa retraite.
En 1980 : ouverture de la série B menant aux carrières du commerce et du droit.
En 1960 : obtention du contrat d’association pour les classes secondaires ; pour les classes primaires en 1965.
En 1973 : ouverture d’une série technique F8 ; cette série qui prépare aux carrières paramédicales et sociales est très demandée.
A Pâques 1956, après 18 mois de maladie, Melle Boucher nous quitte, ayant gardé jusqu’à la fin le souci de son école. Elle est remplacée par Melle Guillermin. Les effectifs croissent : 300 élèves en 1959, 1050 en 1968, plus de 1600 à la rentrée de 1988. Cette progression nécéssite l’agrandissement de certains locaux et l’achat d’autres bâtiments.
A partir de 1951, et pendant une dizaine d’années, l’enseignement religieux du second cycle est assuré, avec dévouement et compétence, par le Père René Peyrin, curé de Saint Martin. Les grands évènements religieux de l’année sont la communion solennelle et la fête du Sacré-Coeur marquée par une procession sous la tonnelle qui ombrage les jardins de Saint Charles.
1948 est une date importante dans l’histoire de Saint Charles : le 14 août, la Supérieure Générale informe Melle Boucher de son intention de retirer les religieuses de Vienne, et lui demande de prendre la responsabilité de la maison. Melle Boucher se fera un devoir d’accepter.
De 1900 à 1946, la direction est assurée successivement par deux religieuses. A cette date, Saint Charles compte à peu près 150 élèves filles réparties en six classes, quatre avant le certificat et deux pour préparer le brevet. L’enseignement est assuré presque entièrement par des laïcs.
En 1863, l’école devenant de plus en plus importante, c’est la construction de “la maison d’en haut”. Au début du XXème siècle, l’école traverse une très dure période, au moment des sécularisations. Les religieuses sont aidées efficacement par un groupe de pères de famille. Leur action permet que les bâtiments restent la propriété de Saint Charles.
1827 voit l’arrivée des religieuses de Saint Charles à Vienne, suivie aussitôt de la création d’une école de petits, appelée l’Asile.
Les registres de cette époque font mention des éloges faits par l’inspecteur de la bonne tenue de l’Asile. Les bâtiments comprenaient seulement “la maison d’en bas”, bâtiment actuel de l’infirmerie. Là, logeait la communauté qui, vers la fin du siècle, comptait une trentaine de religieuses ; plusieurs enseignaient dans les écoles paroissiales de la ville.
La congrégation des Sœurs Saint-Charles a été fondée à Lyon en 1680 par Charles Démia, pour l’éducation et la mission. Vers la fin du XIXème siècle, la congrégation compte 230 établissements comprenant souvent plusieurs œuvres ; elle reçoit plus de 40 000 enfants dans les écoles, s’occupe des tout-petits dans les crèches et « salles d’asile », soigne plus de 4 000 malades ou vieillards dans les hôpitaux et hospices, assiste environ 6 000 familles pauvres dans les dispensaires et bureaux de bienfaisance.
C’est sa qualité d’hospitalière, déclarée dans ses statuts, reconnue et confirmée par jugement du 25 mars 1905, qui sauvera l’Institut de la nomination d’un liquidateur.
Né en 1637, issu d’une famille riche, Charles Démia renonce à la vie mondaine. Il consacre toute sa fortune personnelle à ses œuvres. Prêtre diocésain, il est nommé par l’archevêque de Lyon visiteur extraordinaire du diocèse. Au cours de ses visites dans les paroisses, il découvre le peu de culture religieuse des fidèles, dont il rédige le constat dans un rapport intitulé Remontrances. Le mérite de ce rapport, rédigé en 1666, est de proposer des solutions basées sur l’éducation en priorité des enfants. Il préconise à cet effet la mise en place d’écoles primaires pour les enfants pauvres :
“De ce peu de soin qu’on a d’élever les jeunes gens, écrit-il, s’ensuit la prodigieuse ignorance de Dieu, qu’ils sont néanmoins obligés de connaître, d’aimer et de servir, s’ils veulent avoir part en son Royaume. Mais comment le connaîtront-ils ? s’ils n’ont des Maîtres qui les instruisent. Comment les Maîtres les instruiront-ils ? si quelqu’un ne les entretient. Qui les entretiendra ? si le corps de Ville, les Curez et Marguilliers de chaque Paroisse n’entreprennent cette dépense ?”
Par “jeunes gens”, il entend les garçons mais aussi les filles, même s’il témoigne de l’esprit du temps quant à l’idée que l’on se faisait de la femme :
“Si la bonne instruction est si nécessaire dans les pauvres garçons, elle ne l’est pas moins pour la gloire de Dieu & le bien public dans les Pauvres Filles ; Ce sexe ayant d’autant plus besoin d’être soutenu par la vertu, que la faiblesse est grande, & que de leur bon commencement dépend leur fin heureuse.”
Son ouvrage, qui sera réédité en 1668, va toucher un plus large lectorat et va inciter d’autres diocèses à la création d’écoles gratuites. Ses préconisations ne sont pas improvisées mais le fruit de sa pratique, d’une lente expérience de vingt ans sur le terrain.
On lui doit aussi en 1672 l’ouverture du séminaire Saint-Charles qui est en quelque sorte le premier centre de formation des maîtres en France, une sorte d’École normale. Pour devenir maître, il faut une licence d’enseigner : celle-ci est octroyée pour une ou trois années, renouvelable éventuellement une fois. Peu de jeunes ont une vocation pour devenir maître et pourtant, paradoxalement, ceux qui sont nommés ne sont pas retenus longtemps. On peut critiquer cette défaillance de recrutement mais surtout le fait que très souvent le maître s’améliore avec les ans et la pratique.
Cette même année de 1672, son archevêque nomme Charles Démia coordinateur de l’ensemble des petites écoles du diocèse ; bien avant l’heure, il joue le rôle de directeur diocésain de l’Enseignement catholique, véritable délégué épiscopal dans le domaine éducatif. Ses qualités d’administrateur sont exceptionnelles. Il organise un “Bureau des écoles”, c’est un conseil de direction et de surveillance. On emploierait plutôt aujourd’hui l’expression “Conseil de tutelle”. Ce bureau est composé de seize personnes dont la moitié sont des laïcs. D’après les statuts de cette association, le directeur sera toujours un ecclésiastique et le trésorier sera toujours un laïc. Le bureau doit se perpétuer par cooptation. Les membres de ce Bureau sont mandatés pour inspecter les écoles. Ils vérifient les registres d’absence et d’assiduité, ils interrogent les élèves au hasard sans être présentés par le maître, ils vérifient le degré de lecture des élèves et la qualité de leur prononciation. Pour les critiques sur l’enseignement du maître, l’entretien pour lui donner conseils et recommandations se fait toujours en dehors de la présence des élèves.
L’apport pédagogique de Charles Démia est loin d’être négligeable. Il incite le maître à prendre en charge successivement chaque classe de l’école. Le maître doit être capable d’enseigner dans tous les niveaux. Quand il quitte une classe pour une autre, il la confie à des élèves de confiance qu’on appelle les “officiers”. Ces derniers ont la responsabilité de faire régner le calme et une atmosphère studieuse tout en aidant dans leurs exercices les élèves qui ont le plus de mal, c’est le principe de ce que l’on appellera “l’enseignement mutuel”.
Tous ces conseils, préceptes et recommandations sont explicités dans son ouvrage Règlements pour les écoles de la ville et diocèse de Lyon. On y trouve la description méticuleuse de l’emploi du temps d’une journée. Le silence pour les élèves est exigé, mais aussi pour les maîtres, qui doivent parler “très rarement et fort bas”. Pour remplacer la parole, on met en place tout un système de signes, une sorte de télégraphie scolaire. Pour faciliter l’écriture, l’orthographe est réformée : par exemple, sont supprimées les lettres qui ne se prononcent pas comme le p dans “baptême” ; pas de lettres doubles inutiles comme “afaire” ou “aporter”… Ajoutons que si, en fin de journée, il reste un peu de temps, on pourra le consacrer à un travail manuel, plutôt rudimentaire.
Injustement méconnu, Charles Démia a posé, bien avant Jean-Baptiste de La Salle, des jalons pédagogiques fort pratiques, parfois critiquables, mais souvent pertinents et précurseurs. Ce prêtre obscur du XVIIe siècle, qui mourut en 1689, qui inventa la fonction de directeur diocésain de l’enseignement catholique, fut sans conteste l’un des fondateurs de l’instruction populaire en France.
Notre équipe pédagogique se tient à votre disposition afin de répondre à toutes vos questions et afin de vous accompagner dans la future scolarisation de votre enfant.